Archive for the Category » Réalisateur «

Twilight – Chapitre 2: Tentation

Un film de Chris Weitz
Avec Kristen Stewart, Robert Pattinson et Taylor Lautner.
Sortie en novembre 2009.

Twilight - Chapitre 2: Tentation

La vie continue à Forks. Bella et Edward poursuivent leur idylle. Mais bientôt Bella se pose des questions sur son âge. Elle angoisse à l’idée de vieillir alors qu’Edward demeurera éternellement le bellâtre de 17 ans qu’il était le jour de leur rencontre. La question se fait plus vive pour le jour des 18 ans de Bella.

Alice organise une fête à cette occasion. Bella décide d’y participer sans enthousiasme. Mais alors qu’elle ouvre ses cadeaux, elle se coupe avec le papier. Une maladresse qui n’est pas anodine dans une famille de vampires. Jasper se rue sur elle, obligeant Edward à défendre sa bien-aimée. Tout est bien qui fini bien, mais l’incident fait réfléchir Edward. Bella est en danger avec lui. La seule solution pour son bien est de la quitter, sans espoir de retour.

Bella s’effondre…

Je me demandais vraiment ce qu’allait donner ce deuxième volet au cinéma. J’avais été plutôt agréablement surprise par le premier opus. Malheureusement, si ce n’est l’évolution de la relation de Bella et Jacob, la première partie du roman m’avait beaucoup ennuyé. C’est donc avec beaucoup d’appréhensions que je me suis installée dans la salle obscure.

Bella et Carlisle

Et finalement, je me suis laissée prendre au jeu. C’est avec plaisir que je me suis remémorée les aventures de Bella et Edward. J’attendais peut être plus d’émotions lors de la rupture. Je comprends bien le masque impassible d’Edward, mais Bella m’a semblé un peu inexpressive.

Edward et Bella

La partie la plus intéressante à mes yeux est l’évolution de la relation de Jacob et Bella. Jacob, c’était mon gros coup de coeur dans les romans. Alors j’attendais sa transformation avec impatience. Et je suis plutôt mitigée… Alors oui, Jacob a un corps à faire frémir toutes les jeunes filles de la salle, oui son jeu est plutôt pas mal, mais j’ai du mal avec son visage de poupon… Quant aux loups, à leur première apparition je n’ai pu m’empêcher de pouffer. Mais ensuite, je les trouve plus réussi. Même si au final je les trouve très « gentils toutous »,je les aurai vu plus terrifiants.

Bella et Jacob

Bien sûr certaines scènes du roman ont été coupées, d’autres ont été arrangées pour le bien du film, mais dans l’ensemble les choix sont plutôt judicieux. J’ai bien aimé la solution trouvée – le coup de téléphone – pour palier au fait qu’Edward peut difficilement  lire dans les pensées. Et comme dans le premier film, quelques touches d’humour plutôt bien placé ont été ajouté. Mais avec ce deuxième volet, je me dit que sans avoir lu les romans, le film est certainement plus difficilement abordable – ou vite ennuyeux…

Bella

Crédits pour toutes les photos: allociné.fr

En tout cas, j’ai passé une très bonne soirée, je me suis bien changée les idées et j’ai été plutôt agréablement surprise…

Arthur et les Minimoys

Sortie en décembre 2006.
Réalisé par Luc Besson.

Arthur et les Minimoys

Arthur est un petit garçon de dix ans. Il passe toute l’année à l’internat et ne voit que rarement ces parents. Et les vacances d’été, il les passe chez sa grand-mère. Quelques années auparavant, son grand-père, une sorte d’explorateur passionné par l’Afrique, a mystérieusement disparu. Arthur adore farfouiller dans les livres de voyage de son grand-père et écouter les histoires que lui raconte sa grand-mère.
Accablé de dettes depuis la disparition de son mari, la grand-mère d’Arthur est menacé d’expulsion par un promoteur sans scrupule. Arthur est près à tout pour sauver la maison familiale. Et si cette histoire écrite par son grand-père et décrivant un fabuleux trésor caché dans le jardin dans le monde des Minimoys était vraie?
Arthur décide de suivre les indices laissé par son grand-père afin de passer dans le monde des Minimoys et peut être retrouver son grand-père et sauver la maison.

Je suis dans une période où j’apprécie particulièrement les films et les dessins-animés pour enfants. La période précédant les fêtes de Noël me ramène toujours un peu vers mon enfance. C’est donc avec plaisir que je me suis installée devant la télé dimanche soir. Je n’avais jamais vu Arthur et les Minimoys bien que j’en avais déja beaucoup entendu parlé. C’est sans apriori que je me suis plongée dans le monde d’Arthur.
Et je dois dire que j’ai bien aimé. Pas un grand chef d’oeuvre, mais un bon divertissement. J’ai beaucoup aimé le jeux entre les deux univers, entre le cinéma traditionnel et les images de synthèse. Et j’ai été plutôt agréablement surprise par les dialogues: la princesse Sélénia a de la répartie et un langage vraiment adapté aux jeunes spectateurs. Et puis qu’est-ce qu’ils sont mignons ces Minimoys!
Un film largement orienté vers un jeune public, mais j’ai passé un agréable moment…

La vie des autres

Un film de Florian Henckel von Donnersmarck.
Avec Martina Gedeck, Ulrich Mühe et Sebastian Koch.
Sorti en janvier 2007.

La vie des autres

Au début des années 1980, en Allemagne de l’Est, Georges Dreyman, auteur, et sa compagne, Christa-Maria Sieland, actrice, font partie de l’élite des intellectuels de l’Etat communiste. Pourtant, dans leur fort intérieur, aucun des deux n’adhère vraiment aux idées du parti. Le soir de la première de la nouvelle pièce de théâtre dont Christa-Maria est l’actrice principale, le Ministre de la Culture, Hempf, commence à s’intéresser à elle. Il dépêche alors un des meilleurs agents secrets, Wiesler, avec pour mission de l’observer et de trouver coûte que coûte de quoi inculper Dreyman pour lui permettre de se rapprocher de la jeune actrice. Mais Wiesler est un agent intègre qui croit profondément aux idéaux du parti. Et pourtant tandis qu’il progresse dans son enquête, le couple d’intellectuels va le fasciner de plus en plus…

J’avais vu ce film dès sa sortie au cinéma au début de l’année 2007. Il y a peu, par le plus grand des hasards, j’ai trouvé le DVD. Je me le suis donc offert et je me suis tout de suite replonger dans cet univers si particulier.

Dreyman et Christa-Maria

C’est un film magnifique qui retrace très bien l’atmosphère qui devait règner en Allemagne de l’Est dans les années 1980 avec la Stasi, ses contrôles et ses écoutes.
Sur avis du ministre de la culture, l’appartement de Christa et Dreyman est mis sur écoute. Il y a des micros partout, dans leur chambre, dans le bureau et même dans les toilettes. L’agent Wiesler passe ses journées à les écouter. Et pourtant rien ne permet de les incriminer. Mais au fur et à mesure de son enquête Wiesler se désocialise totalement – il passe de plus en plus de temps à ses écoutes – et commence à vivre par procuration à travers ce couple qu’il se met à admirer et à envier. Malheureusement, ils n’ont rien à envier, le régime va les déchirer jusque dans leur vie la plus intime…

L'agent Wiesler

Crédits pour toutes les photos: allociné.fr

Ce film ne se regarde pas simplement, il se vit. Les acteurs sont irréprochables. Henckel von Donnersmarck a réaliser un travail de documentation énorme et tout le film s’en ressent. J’ai failli pleurer à plusieurs reprises et pourtant je n’ai pas la larme facile habituellement. Mais quand on sort de ce film, il nous faut un petit moment de réadaptation, le temps de reprendre ses esprits.
Un film simplement bouleversant…

L’âge de glace 3: le temps des dinosaures

Vendredi dernier, pour nous changer les idées, nous avons passé notre soirée au cinéma devant l’Âge de glace 3.

Affiche de l'âge de glace

Je n’ai pas eu spontanément envie de voir ce troisième volet puisque j’avais été particulièrement déçue par le deuxième opus, mais de l’avis général de mes collègues de travail, je ne devais pas hésité et me lancer. J’y suis donc allée…

Manny et Ellie, nos deux gros mamouths gentils, attendent leur premier enfant. Alors qu’Ellie est proche du terme, Manny panique complètement et est un futur papa bien stressé.

Sid, Diego, Manny, Ellie et le petit

Diego a pris de l’âge et lorsqu’il poursuit le gibier, ce dernier finit toujours par le distancer. C’est le coeur gros, qu’il décide de quitter ces amis trop fier pour leur  expliquer vraiment de quoi il en retourne.

Sid, lui, se sent en marge de tous ses événements et bien seul au milieu de toutes ces préoccupations. Il sent bien que sa horde se disloque, que le temps est passé et qu’il va falloir qu’il évolue lui aussi et trouve de nouveaux amis ou fonde sa propre famille. C’est lors d’une promenade qu’il fait pour réfléchir à tout ceci, qu’il tombe dans un trou sous la glace et découvre trois énormes oeufs.

Avide de fonder sa propre famille, il ne réfléchit pas longtemps et décide de devenir la maman de ces oeufs. Mais les oeufs s’avère être des oeufs de T-Rex et trois adorables T-Rex viennent rapidement bousculer les habitudes de nos héros.

Sid et ses bébés T-Rex

En fait, c’est tout un monde souterain que Sid à réveiller en volant ces oeufs. Et pour le sauver, ces amis décident de partir à sa recherche. Ce monde est peuplé de dinosaures, tous plus effrayant les uns que les autres et d’un étrange animal, complètement cinglé et obsédé par le plus gros des dinosaures,  une fouine nommée Buck qui va leur servir de guide…

Sid va-t-il réussir à convaincre la maman T-Rex qu’il est mieux placé qu’elle pour élever ces petits? Comment va réagir Manny face aux dangers auxquels se risquent sa femme et son petit? Et Diego, va-t-il reprendre du poil de la bête?

Toute la horde et Buck

C’est avec beaucoup de plaisir que nous avons navigué dans cet univers et que nous avons retrouvé notre horde déjantée… Nous avons beaucoup rit, surtout avec Sid, Scrat et Buck, la fouine cinglée qui vient compléter la bande. Nous avons été ému par le coup de vieux qu’à pris Diego au début de l’épisode, par l’instinct maternel d’un Sid que nous ne connaissions pas du tout sous cet angle, par la naissance d’un nouveau petit mammouth, par un Scrat follement amoureux… Les gags fusent, les références cinématographiques et littéraires sont à mon avis à nouveau beaucoup plus présentes que dans le deuxième opus. Un vrai bol d’air frais!

Scrat, sa dulcinée et le fameux gland!

Crédits pour toutes les photos: allociné.fr

Une vraie gourmandise, bien fraîche, pour oublier la chaleur de l’été!

Fringe

C’est sur TF1 au courant du mois de juin que j’ai découvert cette série par le plus grand des hasards, alors que je m’étais endormie devant un film et que je me suis réveillée en deuxième partie de soirée… J’ai tout de suite été intriguée.

Fringe: Joshua Jackson, John Noble, Anna Torv

Crédits photo: allociné.fr

Le premier épisode s’ouvre sur un tragique accident d’avion causé par on ne sait quoi. Les corps sont affreusement mutilés, pas un seul survivant et  du sang partout, mais le pilote automatique a réussi à poser l’avion sans encombre. Olivia Dunham, agent du FBI, est chargée de l’enquête avec son co-équipier et amant John Scott.

Au cours de l’enquête ce dernier est grièvement blessé par une bombe chimique. Le monde d’Olivia vascille dangereusement. C’est auprès de Walter Bishop, un savant fou interné dans un hôpital psychiatrique depuis de longues années, et de son fils Peter, qu’elle va trouver les premières réponses à ses questions. Mais elle ne tarde pas à découvrir que le drame du vol 627 n’est qu’une petite partie d’une vérité bien plus terrifiante…

Mon gros coup de coeur va aux personnages qui sont extrêmement bien interprétés par les acteurs. Joshua Jackson dans le rôle d’un Peter Bishop, aux relations père-fils particulièrement tendus et pas banal, un peu voyou, cynique, ce n’est vraiment que du bonheur! John Noble est vraiment très attachant en savant fou qui s’éparpille à longueur de temps et qui ne pense qu’aux douceurs des desserts et boissons qui lui ont tant manqué au court de ses dix-sept ans d’internement. L’humour cynique et caustique du père et du fils apportent quelques moments particulièrement savoureux… Olivia Dunham interprété par Anna Torv est peut être le personnage du trio auxquels j’accroche le moins, bien que sa situation et sa volonté la rendent facilement attachante.

Fringe: Joshua Jackson

Crédits photo: allociné.fr

Il est vrai que l’intrigue met un peu de temps à s’installer, mais une fois que les fondements sont mises en place, le rythme devient haletant. On ne peut s’empêcher de vouloir voir l’épisode suivant dès qu’un épisode se termine. Les intrigues sont nombreuses et complexes, mais dans chaque épisode une clef nous est donnée pour voir un peu plus loin, commencer à dénouer le noeud du problème. Et puis parfois, on part dans une mauvaise direction et on est bien étonné de la suite…

Bref, voilà ma série coup de coeur de l’été! Et vivement la suite!

Donnie Darko

Un film de Richard Kelly.
Avec Jake Gyllenhaal, Jena Malone et Drew Barrymore.
Sorti en janvier 2002.

donnie-darko

Donnie Darko est un adolescent de seize ans. Intelligent et doté d’une grande imagination, il n’est pourtant pas tout à fait comme les autres. Il a un ami, Frank, un lapin géant au visage effrayant, que lui seul peut voir et entendre.
Alors qu’il échappe miraculeusement à un horrible accident, Frank
lui annonce la date de la fin du monde et lui propose un étrange marché…

Il y a quelques jours, Arnaud a été très étonné que je n’ai jamais vu ce film. Un film culte à ses yeux. Je me suis donc empressée de remédier à mon ignorance et nous avons visionné le film dans la soirée même. N’étant pas fan de film fantastique, je dois dire que j’étais un peu inquiète face au résumé d’allociné.

Et pourtant j’ai été très agréablement surprise. Contrairement à ce que laisse imaginer le résumé, nous ne sommes pas dans un univers totalement fantastique, mais bien dans la tête d’un jeune homme perturbé. On oscille entre le thriller psychologique et la science fiction. Quoi qu’il en soit, le film n’est pas facile d’accès. Il est vraiment très intriguant et c’est surtout une fois la dernière image disparu qu’on y repense. Beaucoup de questions y sont posés, notamment sur les voyages dans le passé et l’existentialisme. Un film qui a déja fait coulé beaucoup d’encre et dont les fans continuent à batailler pour trouver une explication…

Un très bon moment de cinéma!

Pour plus d’informations sur le film, faites un tour par ici.

Twilight Chapitre 1 Fascination

Un film de Catherine Hardwick.
Avec Kristen Stewart et Robert Pattinson.
Sorti en salle en janvier 2009.

twilight

Bella, adolescente de seize ans, quitte l’Arizona ensoleillé où elle vivait avec sa mère,  pour s’installer chez son père à Forks, petite ville grise et humide. Elle est certaine qu’elle ne s’habituera jamais ni à la pluie ni à Forks où l’anonymat est interdit. Mais dès son premier jour de lycée, elle rencontre Edward, lycéen de son âge et d’une beauté inquiétante.  A la fois attirant et hors d’atteinte, au regard tantôt noir et terrifiant, tantôt chaud et doré, Edward Cullen n’est pas humain, Bella en est certaine…

Juste avant d’aller au cinéma, j’avais lu pas mal de billets très peu élogieux sur l’adaptation cinématographique et je n’en attendais donc pas grand chose, me préparant déja au pire, mais curieuse tout de même de voir ce qui avait été tiré du roman. Et pourtant, j’ai été vraiment très agréablement surprise.

Le film est vraiment très conforme au roman, tous les principaux éléments s’y trouvent. Il y a quelques petites choses en plus qui sont plutôt sympathiques, dont les fameuses balades dans les arbres, et quelques petites touches d’humour qui donnent un petit plus au film – dont la fameuse scène du ventilateur. Les paysages sont absolument magnifiques et Bella est très conforme à l’image que je me faisais d’elle. J’avais quelques doutes concernant la crédibilité de Robert Pattison dans le rôle d’Edward, mais il a très rapidement réussi à me convaincre. Les autres membres de la famille Cullen m’ont quelque peu désarçonné au début et puis finalement le charme a opéré. Mais je dois avouer que j’ai envie de donner une mention spéciale aux « méchants », James, Laurent et Victoria, qui me semblent de loin les vampires les plus réussis et les plus crédibles.
Je ne cache pas que le film a des défauts, mais finalement je me suis largement laissée prendre au jeu et c’est, comme pour les romans, avec des yeux d’adolescente, que j’ai apprécié le film. Même Arnaud – que j’ai un peu tiré de force à la séance, j’avoue – a été plutôt séduit…

Un film plutôt plaisant et réussi au final…

True Blood

Aujourd’hui, et pour mon premier véritable message de l’année, j’ai envie de parler de séries. D’une série en particulier, je vous avoue, que j’ai découvert il y a un peu plus d’un mois et dont je suis déja véritablement fan… True Blood.

C’est une amie du boulot qui m’en a parlé la première en me disant qu’il s’agissait d’une série avec des vampires et par curiosité j’ai eu envie de découvrir cette série un peu plus avant. Et quelle bonne idée j’ai eu!

Mon premier coup de coeur? Le générique et sa chanson… C’est d’ailleurs, la chanson qui me remonte le moral ces derniers temps quand j’ai un petit coup de blues.

Il s’agit de Bad Things de Jace Everett. J’adore parce qu’il montre bien l’ambiance de la série. Notez au passage les images subliminales 😉

En ce qui concerne plus précisément la série, j’aime beaucoup l’atmosphère, l’histoire, le mystère, la mise en scène, le côté déjanté et très sensuel. La série a été créé par Alan Ball a qui l’on doit déjà Six feet under et l’héroïne est incarnée par Anna Paquin qui a reçu un oscar dans la Leçon de Piano.

Pour vous mettre l’eau à la bouche, je vous résume un peu l’histoire:

Les vampires vivent depuis peu officiellement parmi les humains car ils n’ont plus besoin de tuer pour se nourrir depuis que du sang synthétique a été inventé.

Sookie Stackhouse est serveuse dans un bar d’une petit ville de Louisiane, Bontemps. Un don, parfois très difficile à vivre, lui permet de lire dans les esprits des gens qui l’entourent. Son don l’empêche notamment d’entretenir une vraie liaison avec un homme. Mais un jour, le premier vampire arrive à Bontemps: il s’agit de Bill Compton. Son incapacité à lire ses pensées attire tout de suite Sookie.  Petit à petit, elle noue avec lui une liaison quelque peu dangereuse qui va bouleverser toute sa vie…

Pour l’instant, douze épisodes ont été produit. La deuxième saison est en court de production et devrait sortir aux Etats Unis au courant du mois de juin. On l’attend avec beaucoup d’impatience!

Cette série a été adapté des romans de Charlaine Harris La communauté du sud. Malheureusement, les deux premiers tomes sont épuisés et introuvables en France pour le moment.

Le site officiel: ici.

Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal

Un film de Steven Spielberg.
Sortie en 2008.

Hier soir, nous sommes allés à la séance de 19h pour voir Indianan Jones et le royaume du crâne de cristal qu’on avait très envie de voir. Comme nous n’avions pas eu le temps de dîner nous sommes passé prendre quelques sucreries: pop corn et bonbons… Le quatrième volet d’Indiana Jones est dans la droite lignée des films précédents. J’ai vraiment été très agréablement surprise.

Cette fois-ci notre très cher Henry Jones se bat contre les Russes. Ces derniers l’ont enlevé pour les aider à retrouver un mythique crâne de cristal.

Indiana Jones se retrouve confronté à son amour de jeunesse et découvre ému qu’il a un fils.

Nous avons passé un très bon moment. Nous avons bien rit et sommes rentrés bien détendu…

Lust Caution

Un film d’Ang Lee.
Sortie en janvier 2008.
Interdit au moins de 12 ans.

Dans les années 1940, alors que le Japon occupe une partie de la Chine, une jeune étudiante, Wong, est chargée d’approcher et de séduire Mr Yee, un des chefs de la collaboration avec les Japonais, homme redoutable et méfiant que la Résistance veut supprimer. Mais très vite, la relation entre Wong et Mr Yee devient bien plus complexe que ne l’avait imaginé la jeune femme.

Voilà bien longtemps que nous n’étions plus allés au cinéma, essentiellement parce que nous n’avions pas vraiment eu de coup de coeur sur les sorties de ses derniers mois. Et puis, il y a eu Lust Caution. Ce film est tout simplement splendide. La musique d’Alexandre Desplat est magnifique. L’histoire est très dure.

Alors qu’une partie de la Chine est occupée par les Japonais, un groupe d’étudiants chinois  décident de se lancer dans la résistance. Avec des moyens plus que limités, ils mettent en place une surveillance de Mr Yee, un des chefs de la collaboration avec les Japonais. Wong, jeune étudiante, est chargée de le séduire et de l’éloigner de ses gardes du corps pour que les étudiants puissent l’abattre. Mais rien ne se déroule comme prévu, la mort de Mr Yee devient une obsession et la relation entre cet homme et la jeune Wong est bien plus complexe qu’elle n’aurait dû l’être…

Entre obsession, amour, trahison, luxure et résistance à l’ennemi, Lust Caution est un film tout simplement magnifique. Malgré un rythme lent et plus de 2h30 de projection, le film n’est jamais long, jamais ennuyeux. On y entre tout entier, on est captivé.

Un thriller psychologique sombre, quelques scènes érotiques, un film à voir absolument!